Rien que des compositions à très (très très) forte personnalité et des noms de parfums inspirés des jeux du Grand Orgue de Notre Dame de Paris.

Contre bombarde 32 : racé et magnétique, un encens « orientalisé » qui se fait soudain bien plus chaud, presque comestible. Ultime atout : sa mélodie douce reste pour longtemps en tête comme un air de musique qui s’installe et qu’on n’oublie pas. C’est sensuel, charnel et très insistant sur la peau.

Voix humaine 8 : mystic-chic, comme touché par la grâce, ce parfum qui plonge soudain dans les graves, rappelle à qui l’aurait oublié que l’encens est le plus vieux parfum de l’humanité. Un jus incantatoire, presque méditatif, au sillage aussi intrigant que son nom.

Plein Jeux III – V : un encens contemporain, plus léger, au bel effet frais, électrisé d’épices et rajeuni par des agrumes, qui délivre d’un seul coup son odeur fraiche, camphrée et poivrée pour illuminer ce cœur (choeur). Une composition élégante sans jamais être arrogante.